J'était plus jeune de quelques années, une amie nous avait invitée une autre copine et moi a dormir chez elle. Il y avait deux chambre disponible dans la maison j'en occupais donc une et les filles l'autre tous se passait toute a fais normalement nous nous sommes couchés chacun dans nos chambre mais j'eu subitement besoin vers 1h00 d'aller au toilette sans faire de bruit pour ne réveiller personne je me suis dirigé vers la salle de bain passant devant la chambre des filles je remarqué que la porte était entre ouverte mais je n'y prête pas vraiment d'importance. Je me suis donc rendu dans la salle de bain et y ai fait ma petite commission. Au moment d’en ressortir je lève la tête et je m’aperçois que là juste en face de moi la porte ouverte de la chambre de filles m’offre une vue fort plaisante… mon cœur se met brutalement a battre plus fort devant moi je vois les jambe relever et le cuisse nue et écartée de Nathalie. Je m’approche d’un pas,  tremblant d’excitation je m’aperçois qu’elle ne porte pas de vêtement et qu’elle est en train de se masturbée. Je n’ose plus bougée et je fais un petit pas sur le coté pour être sur de ne pas être vu. Le petit pas sur le coté m’offre une toute autre perspective a coté d’elle pratiquant le même exercice dans la même position Isabelle se caresse également. Regardant leurs fines jambe se frôlé et leur doigt se perdre dans leurs intimités je ne peu m’empêcher de glisser ma main dans mon caleçon. Quand soudain Isabelle dit a voix basse :  « on croise ? » leurs mains passèrent de l’une a l’autre puis elle rajouta : « c’est meilleur non… ? ajoute un doigt ». A ces mots mon caleçon a mis cuisse mon sexe a pleine main je me branle en le regardant faire. Ne tenant plus je remonte mon caleçon qui ne dissimulait évidemment absolument pas mon état et je m’approche de la porte. Je tape doucement et dis : « je peu entrer les filles ? » surprise je les vois jeter le drap sur leur corps nue et me dire d’une voie un peu tremblante : «  oui entre ». Les joue rosie elle me regarde interrogative et gênée quand leur yeux se posent sur la bosse oblique de mon caleçon Nathalie sourie et regarde Isabelle, je le regarde a mon tour un peu gêné et je dis : « j’ai besoin d’aide » Isabelle regarde Nathalie et dit en ouvrant le drap « nous aussi vient »… J’ai passé une nuit formidable nous étions tous les trois comblés et après deux ou trois heures de sommeille nous avons remis ça le matin dans le lit puis vers midi dans la douche, quand en milieu d’après midi nous nous sommes séparés j’était convaincu que le triolisme est une chose des plus delicieuse....