Caresses feminine

Samedi 21 mars 6 21 /03 /Mars 07:21
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Dimanche 6 avril 7 06 /04 /Avr 17:24

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Mercredi 20 février 3 20 /02 /Fév 22:50
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Samedi 16 février 6 16 /02 /Fév 00:19

 

Par forcebrute - Publié dans : Caresses feminine
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Dimanche 10 février 7 10 /02 /Fév 08:52
J'ai enfin decidée de partager une petite experience qui m'st arrivée il n'y a pas si longtemps. 

Je tchatais un soir sur le net quand une fille est venue me parler. On a sympatisé puis échangé nos MSN. La elle m'a avoué qu'elle était bi. Ca fait un petit moment que que j'ai envie d'essayer une relation avec une fille et la discution a rapidement tourné au sexe. Plus on discutait, et plus j'étais excitée.
C'est alors qu'elle ma demandée si j'avais une cam.
Elle a mis la sienne, et a ma grande surprise elle ne portait qu'une nuisette en dentelles tres sexy. Je craquais. Elle n'a  pas eue beaucoup de mal pour me convaincre de me deshabiller à mon tour.
elle me regardais faire puis elle s'est reculée, et a levée sa nuisette, je voyais son minou épilé qu'elle caressait doucement.
On s'est masturbées en se regardant.
Je n'avais fais ca avant et encore moins avec une fille mais j'ai adorée. On a recomencé plusieurs fois depuis et c'est toujours aussi bon que la premiere fois.
Elle habite a Paris donc malheureusement on a pas encore pu se voir pour le faire en vrai. Mais c'est prévue, et je te raconterai.

bises
 
Elodie
 
Par forcebrute - Publié dans : Caresses feminine
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Samedi 9 février 6 09 /02 /Fév 08:50

J'ai décidé de vous fournir des outils en ligne d'aide a la masturbation... :D alors les filles vous voulez quoi ?

- Texte erotique ( sur quel theme)

- photo ( porno, erotique, ou juste subjectvie)

- video.... ou je ne sais quoi

Posté en commentaire vos desir et je me batrer pour les réaliser... ;)

Par forcebrute - Publié dans : Caresses feminine
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Jeudi 31 janvier 4 31 /01 /Jan 08:28

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Voici un court récit d’une expérience partagée avec ma meilleure amie Mathilde. Alors que nous ne nous y attendions absolument pas, un petit jeu entre nous nous a entraînées beaucoup plus loin que prévu...

Faire semblant d’être lesbiennes a toujours été comme un jeu entre Mathilde et moi. Il nous arrive, pour jouer, de faire semblant de nous embrasser. Nous rapprochons nos lèvres sans qu’elles se touchent pour autant en nous donnant des surnoms affectifs. Ou alors, nous nous tenons la main en public pour faire croire que nous sommes lesbiennes, c’est très amusant.

 

 

 

Cette soirée-là, Mathilde était venue dormir à la maison. Elle portait un petit short de sport moulant et court, et un T-shirt. Nous étions assises sur deux fauteuils dans ma chambre. Il était temps d’aller se coucher, et Mathilde s’est levée. En me levant à mon tour, j’ai affiché un sourire faussement excité et, à genoux, j’ai posé mes mains sur ses fesses et ai fait semblant d’approcher mon visage de son petit short. Là, je mimais les va-et-vient qu’aurait faits une lesbienne léchant le sexe d’une autre. Mathilde souriait en faisant semblant d’apprécier et de prendre du plaisir. Au gré des va-et-vient, mes lèvres ont légèrement effleuré son sexe à travers son short. De son côté, il semblait qu’elle avançait un peu comme pour appuyer un peu plus le contact contre mes lèvres, tout en simulant le plaisir. À cet instant, dans ma tête, c’était toujours un jeu, et je faisais semblant d’agripper son short au niveau de ses fesses pour le faire descendre. Mais lorsque le contact est devenu plus fort, je me suis rendu compte que je ne savais plus très bien si nous jouions encore. Je sentais en moi une excitation bien réelle, et j’étais surprise de constater que ce qui n’avait jamais été plus qu’un jeu entre nous était par inadvertance en train de devenir plus sérieux. Toutefois, je continuais à exagérer mes gestes, de peur de montrer que je me prenais un peu trop au jeu. De son côté, Mathilde continuait à exagérer son plaisir, mais je me demandais si une part de ses gémissements n’étaient pas réels…

Voyant qu’elle n’était pas choquée et qu’elle croyait toujours à un jeu, j’ai décidé de descendre un peu son short pour toucher ses fesses. Une part de moi voulait savoir jusqu’où elle irait. Mais en descendant un peu son short derrière, il est descendu un peu devant aussi, et lorsque je suis remontée le long de son entrejambe, j’ai vu les courts poils du bas de son ventre. Cette fois tout devenait réel, et je sentais vraiment l’excitation monter ; je sentais mon sexe se mouiller et j’en étais assez honteuse. À cet instant j’aurais voulu arrêter, mais au fond de moi, tout me poussait à continuer. Je suis remontée plus haut, jusqu’à passer mes lèvres sur les petits poils découverts. En levant les yeux, j’ai vu que Mathilde, qui depuis le début fermait les yeux pour feindre une excitation incontrôlable, avait désormais les yeux ouverts et me regardait. Ses gémissements se faisaient moins forts, et il semblait qu’il ne subsistait plus que ceux qu’elle ne feignait pas. Son regard semblait étonné, il était évident qu’elle ne s’attendait pas plus que moi à ce qu’il se passait. Mais ses yeux semblaient aussi me demander de continuer. Mes mains qui jouaient avec son short derrière l’ont descendu un peu plus et au bout d’un court instant, il est descendu un peu devant aussi. Subitement, j’ai vu apparaître la naissance de son sexe. Mes lèvres effleuraient son short dans ce même mouvement de va-et-vient et, en montant un peu plus, mon nez puis mes lèvres ont caressé le haut de son sexe. J’ai senti à cet instant que mon nez, mes lèvres étaient humides. Humides de sa cyprine. Dès lors, il était indéniable que nous ne jouions plus. Elle a laissé échapper un gémissement qui n’avait plus rien d’une simulation. Au fond de moi, je me demandais toujours comment nous avions pu en arriver là, mais à cet instant rien n’aurait pu m’arrêter.

J’ai descendu encore un peu plus son short et, en remontant avec mes lèvres, j’ai réellement senti mon visage contre son sexe. J’étais toute mouillée désormais, et je prenais un plaisir fou à glisser contre son sexe. Lorsque j’ai passé mes lèvres sur son clitoris que je sentais tout excité, sa respiration s’est encore accélérée et Mathilde semblait se retenir de ne pas crier, probablement parce que mes parents dormaient dans la chambre du dessous, et ma sœur dans celle d’à côté. À ce moment, je me souviens m’être demandé ce que je faisais, m’être dit j’étais folle. Mais j’étais trop excitée par ce que je faisais, et surtout par le plaisir que Mathilde semblait en retirer. Tout son sexe était découvert désormais, et c’est à ce moment que, jugeant que je ne pouvais pas revenir en arrière, j’ai décidé de la caresser avec ma langue. Les ondulations de son bassin m’indiquaient qu’elle prenait de plus en plus de plaisir et j’ai vraiment cru qu’elle allait jouir tout de suite quand j’ai pris son clitoris entre mes lèvres pour le sucer. À cet instant, Mathilde a porté les mains à ses seins. Mais je voulais être la seule à lui donner du plaisir, et j’ai introduit une de mes mains dons son T-shirt jusqu’à ses seins. Elle a tout de suite enlevé les siennes et j’ai placé ma main sur un de ses seins. L’idée de sentir tout son sein dans ma main m’a énormément excitée et je sentais mon vagin brûler d’excitation au bas de mon ventre. J’ai finalement mis mes deux mains sur ses seins et j’ai augmenté la cadence de mes va-et-vient le long de son sexe. En quelques minutes elle a joui sous mes caresses.

 

L’instant qui a suivi a été d’une grande maladresse. Mathilde était toute retournée, le short descendu à mi-cuisses. Elle a remonté son short et j’ai bredouillé qu’il valait mieux que nous nous couchions. J’ai éteint la lumière, je me suis couchée et j’ai fermé les yeux pour éviter que nous en parlions. Quelques minutes plus tard, j’ai senti la main de Mathilde m’écarter les jambes et se poser sur mon sexe. Elle m’a enlevé ma culotte et, sans un mot, a enfoui son visage dans mon sexe tout mouillé. J’avais tellement été excitée par ce que j’avais fait à Mathilde que j’ai joui très rapidement sous les caresses de sa langue. Lorsqu’elle a eu fini, elle est venue se coucher derrière moi et a passé une main sous mon T-shirt. Elle a posé sa main sur mon sein et nous nous sommes endormies.

Par forcebrute - Publié dans : Caresses feminine
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Samedi 30 décembre 6 30 /12 /Déc 12:45

J’étais plus jeune de quelques années, j’avais invitée deux de mes meilleurs amis dormir chez moi. Dans ce grand appartement j’avais deux chambres disponibles.  Et après avoir passer une très agréable soirée a discuter, j’attribuais les chambres : « Jérôme tu dormiras dans la chambre du fond ça ne te dérange pas de dormir seul… » Dis-je d’un ton provocateur. Jérôme sourit habitué a se que je le cherche. Jérôme est un garçon fort séduisant mais nous ne le considérions Isabelle et moi comme le fruit défendu car il nous plaisait à toutes les deux.  Nous faisions souvent c’est petite soirée chez les uns et les autres parfois qu’entre fille mais ce soir c’était chez moi et j’avais invité mes deux amis. Nous avons discuter tard avec Isabelle ce soir là j’avais l’impression qu’elle me racontait toute ces histoire de fesses les plus torride, ne voulant pas rester en reste je me suis attelée a lui narré le goût sensuelle et excitant de l’énorme sexe de Franck que je me suis afféré a dévorer dans les toilette du cinéma. A vrais dire son récit qui avait précédée le mieux m’avais profondément excitée et j’espérais avec le mien lui rendre l’appareil. Elle m’avait raconté avoir surpris son voisin nu au bord de ça piscine en train de se masturber de la façon, d’après elle, la plus troublante que puisse le faire un homme… Enfin. Je finissais mon récit quand je sentie la main brûlante d’Isabelle sur mon ventre je sentie une vague de chaleur monter a mes joue je pense qu’elle s’en était aperçus car elle sourit discrètement l’aire satisfaite.  Quand je fini de raconter mon histoire elle me regarda et me dit avec un petit sourire coquin : « tu te caresse toi ? » Je fis au mieux pour dissimuler le trouble que pouvais semer en moi cette question et répondis en souriant  « évidemment et je le fais assez souvent. Et toi Isabelle ? » A ma réponse la main de d’Isabelle sembla m’enflammer le ventre elle se pinça la lèvre et dit : « Je ne sais pas si je le fais souvent je n’ai pas de points de comparaison mais il m’arrive de le faire tout les jours et même parfois plusieurs fois par jour ça dépend… Mais là notre discussion m’a donnée envie pas toi ? » Isabelle ne peu plus rien me cacher elle est excitée ces petits seins pointe sous son t-shirt en coton et ne lâchant pas du regard ces petit grain tendu sous ces vêtements je lui dit « je vois mais pour ne rien te cacher moi aussi… » En disant ça je soulève ma chemise de nuit pour me faire découvrir mes lourd seins généreux puis pour la provoquer je pause ma main sur mon téton et je le pince et j’ajoute : « moi aussi je pointe ». Je sent qu’il ne lui en faud pas plus et que je viens d’allumer en elle une chose qui vas être très agréable. Elle me regarde un peu hésitante a faire le pas mais le désir est trop fort elle se relève retire mon t-shirt comme si elle voulait le déchirer puis je vois ça main caresser ces seins puis descendre le long de son ventre plat s’arrêter sur l’élastique de son shorty, elle me regard me défiant de son désir et elle le retire. Elle est nue devant moi et je ne peu plus rien faire d’autre que de la regarder en caressant mes seins mes yeux caresses son sexe sans poil elle écarte légèrement ces cuisses me laissant découvrir ces fine lèvres rose, elles paraissent si douce si sensible je devine une perle de cyprine qui semble vouloir rejoindre son anus... ne pouvant pas continuer a la regarder en me caressant les seins je me redresse et a mon tour je me déshabille et toute en la regardant je me caresse laissant cette fois mes main parcourir des zones de mon corps d’une rare sensibilité, elle me regarde en effleurant son clitoris. Puis la caresse qu’elle se fait et plus engagé et je vois disparaître entre ces tendre lèvres un doigt et en ressortir couvert de son désir elle me regarde et porte son doigt a ça bouche le léchant goulûment. Ce geste je le fais moi aussi souvent j’aime le goût suave de mon désir je regarde Isabelle et a mon tour je dirige mon doigt devant mon vagin et je le fais pénétrer, le plus profondément possible en me cambrant pour atteindre le point le plus loin puis je le ressort et je le lèche et le gobe l’excitation est a son top je veux jouir je la regarde et je lui dis : « je n’en peu plus, je vais me faire jouir on le fais cote a cote ? » Isabelle acquiesce et nous nous allongeons a coté l’une de l’autre je sent la cuisse d’Isabelle contre moi bouger au rythme de son vas et vien. J’allais jouir quand elle me dit : « on croise ? » sans rien dire je dirige ma main vers son sexe il semble littéralement vibrer sous mes caresses je sent la mains d’Isabelle sur moi de frisson parcoure mon corps. Isabelle se cambre sous quand je la pénètre de mes doigts et elle me dit entre deux soupir : « c’est meilleur non… ? Ajoute un doigt ». Je m’exécute et a son tour elle fais entrer ses doigts en moi je sent que je vais jouir un premier spasme me secoue. Soudain alors que je sentait en moi l’orgasme monter, on frappe a la porte nos mains se retire et nous relevons le drap rapidement sur nos corps nus et transit d’excitation : « je peu entrer les filles ? » c’est Jérôme nous nous regardons un peu affolée Isabelle et moi et d’une voie un peu tremblante nous lui répondons en cœur : «  oui entre ». Nous le regardons je suis un peu gêné quand je sent un petit coup de coude venant de la par d’Isabelle qui fixe le caleçon de Jérôme soudainement  qu’il était devant nous sans nul autre vêtement qu’un caleçon fortement rempli et a en croire la rigidité de son membre il était comme nous très excité il nous regarde et dit : « j’ai besoin d’aide » Isabelle me regarde l’air interrogatif mais le regard dévoré de désir et elle me sourit je répond alors a Jérôme en souriant « nous aussi vient »… La suite je ne peu pas la raconter a moi seul car elle nous appartient a tout les trois… mais nous allons vous la raconter… très Bientôt.

Photo : ha08.jpg

 

 

 

 

A suivre…

 

 

 

 

Par forcebrute - Publié dans : Caresses feminine
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Samedi 30 décembre 6 30 /12 /Déc 08:17

Hier une amie ma fait un cadeau, et elle ma dit que je pouvais le partager avec vous alors cette nuit je n’ai pas écris de texte parce qu’aujourd’hui c’est les sien que je publie.

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Là où le rêve et les sens se croisent ….

 

Un jour de vacances où j'étais enfin seule, j'ai eu envie d'aller m'allonger sur la plage privée du bungalow qu'un ami m'avait prêté. La maison voisine étant à presque 50 m de là et la plage bien protégée des fâcheux, je me mis à l'aise sous un arbre pour profiter de cette belle journée ensoleillée …

Mes longs cheveux blondis par le soleil et la mer, relevés, un bon livre, une boisson fraîche, un transat et le ressac de la mer pour seule compagnie …

L'histoire du livre est une intrigue banale, et je commence à somnoler sous la chaleur, quand le chapitre d'un coup devient plus intéressant, je me relève légèrement pour me ressaisir et être plus attentive … L'intrigue devient palpitante même et je me sens transportée dans le roman.

La chaleur est forte, la légère brise de la mer n'est pas suffisante, mon maillot me tient trop chaud, aussi je décide de l'enlever. Ma main effleure mon sein et je sens un frisson tout le long de mon corps. L'héroïne du roman est en train de vivre une passion avec un bel homme, et de furtive ma main devient plus présente, mon téton se hérisse dans ma paume me donnant des envies d'être à sa place.

Et tout en lisant et m'imaginant à sa place, je commence à avoir le souffle court, ma main cherche l'autre téton pour le faire s'ériger aussi et me donner encore plus de frissons.

La chaleur qui m'envahit est terrible, le besoin de me faire plaisir est intolérable, je pose le livre et de mon autre main je finis de me déshabiller.

Mon bas ventre est en feu, il me demande des soins que je m'empresse de lui offrir avec ma deuxième main enfin libre. Mon index est sur mon mont de venus et commence l'exploration de mes lèvres luisantes d'un plaisir anticipé. Ma jambe droite reste allongée pendant que la gauche se relève et fait un angle afin de me permettre de mieux profiter de mon massage.

Je ferme les yeux de plaisir, je ronronne presque tant ça me fait du bien, et l'exploration continue, les grandes lèvres sont écartées plus ou moins doucement tant le besoin est urgent, l'index se fait indiscret et fouille l'entrée de mon sexe sans le pénétrer, et remonte à mon clitoris pour le faire gonfler.

Je me cambre, mon corps veut un apaisement dans le plaisir, et devient douloureux mais comme doué de vie propre l'index continue à jouer de mon sexe sans le pénétrer tout en le tutoyant, si proche et si lointain pourtant que c'est à en hurler de frustration …

Hummm quel bonheur pourtant, il entre timidement et à peine, dans mon vagin, ma paume est sur le clitoris et le masse doucement en faisant des cercles. Je ne tiens plus et deux doigts rentrent en moi …

Mes deux jambes sont en équerre, l'autre main continue sa valse sur mes seins, mon souffle devient de plus en plus court, presque sifflant, un grognement sort de ma bouche, et je me laisse pénétrer enfin par mes doigts fébriles. De rapides mouvements de va et vient me font tout oublier, le lieu, le temps, moi … je ne pense qu'à mon plaisir qui arrive vite, trop vite. Et je jouie, là, seule dans mon rêve ….

Comblée, je me laisse aller sur le transat, les mains toujours sur moi et j'ouvre un œil, puis le deuxième, et je vois une ombre, non c'est un homme. Il est silencieux et me regarde … son maillot est déformé par une bosse explicite qu'il caresse nonchalamment d'une main et se tient appuié de l'autre contre le tronc de l'arbre.

Je réalise que c'est le voisin, nous nous regardons, les yeux dans les yeux, et doucement il avance vers moi et sans une parole, commence à enlever son caleçon …

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Merci a toi mon amie…

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Vendredi 29 décembre 5 29 /12 /Déc 11:36

J’étais plus jeune de quelques années, une amie nous avait invitée un copain et moi à dormir chez elle. Il y avait deux chambre disponible dans la maison, Jérôme en occupait une et donc nous l'autre tous se passait toute a fais normalement nous nous sommes couchés chacun dans nos chambre après une soirée a rigoler ensemble. Nathalie et moi aimions discuter dans la chaleur douillette du lit mais se soir la nos discutions ne tournais qu’autour d’un sujet, le sexe. Nous nous racontions nos expériences nos désires. J’était assez troublée mais je n’arrivais pas a savoir si c’était par la façon d’on Nathalie racontais comment elle avait sucer Franck dans les toilettes du cinéma ou si c’était juste ça présence presque nue a mes cotés. Quoi qu’il en soit je ne laisserais pas se désir sans essayer se qui secrètement me fais fantasmer depuis plusieurs année. J’était allongé sur le coté elle sur le dos, j’approche ma main et la pause doucement sur son ventre plat continuant a l’écouter en souriant un peu. Son ventre est ferme et chaud et je sens que le contact de ma main ne la laisse pas sans réaction. Je la laisse finir de me raconter a quelle point elle avait aimer le sucer et je lui dis : « tu te caresse toi ? » Nathalie rosie et me sourit « évidemment et je le fais assez souvent. Et toi Isabelle ? » La réponse mis mon sang en ébullition et je lui répondit un peu tremblante : « Je ne sais pas si je le fais souvent je n’ai pas de points de comparaison mais il m’arrive de le faire tout les jours et même parfois plusieurs fois par jour ça dépend… Mais là notre discussion m’a donnée envie pas toi ? » Nathalie me regarde son regard s’arrête sur mes petits seins qui pointe sous mon t-shirt et me dis « je vois mais pour ne rien te cacher moi aussi… » En disant ça elle soulève ça chemise de nuit pour me faire découvrir ces seins généreux puis elle pause ça main droite sur son téton et le pince « moi aussi je pointe » ajoute-t-elle en rigolant. Je la regarde et le désir monte d’un cran pour moi, je me releve dans le lit et retire mon t-shirt passe mes mains sur mon ventre et le remonte sur ma poitrine ferme et rebondit puis mes main glisse sur mon ventre s’arrête sur l’élastique de mon shorty, je regarde Nathalie et je le fais glisser jusqu'à mes cheville et le retire. Je suis a présent complètement nue devant Nathalie qui me regarde en caressant ces tétons je la laisse regarder mon minou qui est soigneusement épilée, écartant légèrement les cuisses pour lui laisser découvrir de la façon la plus troublante mon sexe. Nathalie me regarde un moment sans rien dire et sans rien faire de plus que ce caresser les seins puis elle se redresse et a son tour retire sa chemise de nuit puis d’un geste lent et un peu tremblant enlève son string je regarde son sexe en laissant mes main courir sur mon corps. Elle n’est contrairement a moi pas complètement épilée mais son minous n’a qu’une petite touffe de poile juste au dessus de son clitoris. Machinalement ma main passe sur mon sexe et un doigt se glisse entre mes fines lèvres, je suis trempée et mon doigt est couvert de cyprine je la regarde et remonte ma main a ma bouche et je le lèche. Le regard de Nathalie est brillant en me regardant elle m’observe et fais de même, je vois son doigt allé bien plus profond que le mien elle se cambre puis le retire pour le porter a ça bouche comme je l’ai fais elle le lèche puis elle me dis : « je n’en peu plus, je vais me faire jouir on le fais cote a cote ? » j’acquiesce sans pouvoir prononcer un mot et je m’allonge a coté d’elle la main perdu dans la douce chaleur tropicale de mon minou je relève mes cuisses pour quelles effleures doucement celles de Nathalie. Puis une envie germe dans mon excitation j’ai envie de sentir ces caresses sur mon sexe je m’incline vers elle je regarde son visage qui est inondé de plaisir et je lui dis a voix basse : « on croise ? » elle me regarde et dirige ça main vers mon sexe qui palpite d’envie je fais de même en la regardant au moment ou je pause ma mais sur son intimité trempée je sent qu’elle frisonne et son regard se fais plus brillant de désir je lui masse doucement le clito elle fais de même puis descend doucement le bout de ces doigt vers l’entrée humide de mon vagin et en fais glisser deux a l’intérieur je me cambre pour qu’elle puisse me prendre plus profondément et je lui dis entre deux soupir : « c’est meilleur non… ? Ajoute un doigt ». De mon coté je continue a lui caresser doucement le clito il est si dur et si saillant je mis attarde quelques instant puis comme elle je fais glisser mes doigts entre ces lèvres rose a la recherche de son entré puis en douceur j’y pénètre en la regardant dans les yeux y cherchant les reflet de son plaisir quand soudain on frappe a la porte nos mains se retire et nous relevons le drap rapidement sur nos corps nus et transit d’excitation : « je peu entrer les filles ? » c’est Jérôme nous nous regardons un peu affolée Nathalie et moi et d’une voie un peu tremblante nous lui répondons en cœur : «  oui entre ». Nous le regardons quand je m’aperçus soudainement  qu’il était devant nous sans nul autre vêtement qu’un caleçon fortement rempli et a en croire la rigidité de son membre il était comme nous très excité il nous regarde et dit : « j’ai besoin d’aide » Nathalie me regarde ces yeux mon fait immédiatement comprendre ce qu’elle avait envie je lui fais un sourire approbateur et elle dit en ouvrant le drap « nous aussi vient »… Nous avons passé un peu moins de 24 heures formidable ou je ne sais même plus combien de fois j’ai pu jouir.... c’est 24 heures je les gardes pour moi mais se que je retiens de cette expérience et que j’ai envie de partager avec vous c’est que je suis capable d’être excitée et de jouir sans même ressentir de lassitude pendant bien plus de temps a trois qu’a deux. Depuis je n’ai plus jamais ressenti ça…

 

 

 

A suivre…

 

 

 

 

 

 

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